ORCHARD PARK – L’une des répliques les plus drôles que j’ai jamais entendues au cours de mes près de quatre décennies de couverture de la Billets de buffle a été prononcé en 1991, et cela vient de la bouche du Hall of Famer Thurman Thomas.
Après avoir manqué le cadre du Super Bowl 25, le botteur Scott Norwood a connu l’une des pires journées qu’un botteur ait jamais connues lors d’un match de la semaine 15 à Los Angeles contre les Raiders.
En seconde période, Norwood a raté trois buts sur le terrain – cruellement tous à droite – sur 49, 32 et 36 mètres, plus un point supplémentaire, bien que ce soit à gauche. Le dernier panier raté est survenu à 15 secondes de la fin du temps réglementaire, survenant juste après que les Bills aient égalisé le match lorsque Norwood a effectué le PAT à la suite d’une passe de Jim Kelly à James Lofton TD, puis a récupéré le ballon grâce à une interception de Nate Odomes.
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Ce fut un niveau d’échec à couper le souffle, mais en prolongation, Norwood a eu une chance de plus et il a invoqué quelque chose du plus profond de lui et a réussi un tir de 42 verges pour une victoire de 30-27 qui a décroché un laissez-passer en séries éliminatoires au premier tour pour les Bills. .
Par la suite, Thomas – avec un sourire aux lèvres, remarquez – a déclaré que si Norwood avait raté ce dernier panier, les Bills l’auraient jeté hors de l’avion au retour de la côte ouest.
À ma connaissance, personne n’a jamais plaisanté sur le fait de jeter Tyler Bass hors de l’avion de l’équipe depuis qu’il a rejoint les Bills en 2020, et c’est en partie parce que Sean McDermott a inculqué une culture bienveillante et gagnante à l’intérieur des murs de One Bills Drive. C’est peut-être le cliché le plus galvaudé du livre, mais les Bills gagnent vraiment en équipe et perdent en équipe.
Il n’y a pas de meilleur exemple de cela que les émotions qui se sont déversées dimanche dernier lorsque Tyler Bass a réussi un panier de 61 verges décisif et gagnant pour battre les Dolphins de Miami. Malgré les luttes qu’il a endurées depuis 2023, les Bills pensaient que Bass s’en sortirait et wow, s’il l’a jamais fait.
«C’est très émouvant», a déclaré Bass, qui luttait pour conserver son emploi quelques semaines plus tôt. « Aller là-bas et aider mon équipe à gagner, mec, c’est émouvant. Et pour les fans, leur donner de quoi se réjouir, cela signifie beaucoup.
Bass est devenu le neuvième botteur de l’histoire de la NFL, et le premier depuis Greg Joseph des Vikings le 24 décembre 2022, à réussir un panier gagnant de 60 verges ou plus dans les deux dernières minutes du temps réglementaire ou en prolongation. . C’était également le record des Bills pour le plus long panier.
“Je pense juste que dans l’ensemble, c’est un jeune homme qui a vécu cela et le voyage qu’il a parcouru de semaine en semaine, les questions qui lui ont été posées, à moi… c’est naturel, c’est le métier dans lequel nous sommes, “, a déclaré McDermott. «C’est un excellent exemple de force mentale. Je pense que c’est un excellent exemple de persévérance et de résilience pour les jeunes enfants. Voici un joueur qui a été scruté durement.
Voici quelque chose que de nombreux fans des Bills ne croient peut-être pas, mais Bass a maintenant inscrit ses 16 derniers buts sur le terrain en seconde période, ce qui a égalisé un match ou donné une avance aux Bills. C’est la plus longue séquence active de la NFL, et oui, avant de le dire, c’est la saison régulière, donc elle n’inclut pas l’échec en séries éliminatoires contre les Chiefs en janvier dernier.
“Quelle démonstration de résilience de la part de son début d’année un peu difficile”, a déclaré le long vivaneau Reid Ferguson. « Il ne s’en cache certainement pas mais travaille sur les choses. L’entraîneur l’a dit après la panne ici dans le vestiaire, juste en revenant et on ne pouvait pas mieux écrire cette histoire après les deux dernières semaines. En signant un gars, nous avons eu un gars supplémentaire ici en compétition pendant quelques semaines, et c’est juste un témoignage de T-Bass et de la façon dont il gère ses affaires et comment il gère ses affaires et je pense que nous considérerons le passé comme un simple coup de pouce. sur la route. »
Voici trois questions avant le match de la semaine 10 avec les Colts :
1. Les Bills peuvent-ils garder un œil sur le prix ?
Il y a rarement un moment dans la NFL où une équipe qui vient de franchir la mi-saison est aussi loin en avance dans sa course à la division que les Bills le sont dans la risible AFC Est. À 7-2, les Bills ont remporté autant de matchs que les Jets (3), les Patriots (2) et les Dolphins (2) réunis. Cela s’est traduit par une avance de quatre matchs (plus l’avantage du bris d’égalité) sur les Jets avec huit matchs à jouer.
Cela semble acquis d’avance qu’ils remporteront la division pour la cinquième saison consécutive, quelque chose que les Bills n’ont jamais réalisé, pas même à l’époque du Super Bowl Jim Kelly/Marv Levy.
Cependant, même s’il faudrait un effondrement sans précédent pour que les projets de loi fassent exploser tout cela, je rappelle toujours aux gens que rien n’est fini tant que ce n’est pas fini. Qui sait ce qui pourrait arriver au cours des deux prochains mois, avec des blessures critiques toujours possibles dans le monde violent de la NFL, des blessures (comme celle de Josh Allen) qui pourraient faire dérailler les Bills à la hâte.
Tout au long de son mandat, McDermott a très bien réussi à garder ses équipes concentrées, qu’elles soient en avance dans la course à la division ou qu’elles aient du mal à gagner du terrain comme elles l’étaient en 2021 et 2023 avant de finalement prendre les commandes, notamment l’année dernière lorsque cela n’a pas été le cas. Cela n’arrivera qu’au quatrième quart du dernier match à Miami.
Maintenant, il doit recommencer, garder les joueurs engagés et s’occuper de leurs affaires alors qu’ils rencontrent une équipe de 4-5 Colts qui, comme les Dolphins la semaine dernière, jouera avec un sentiment d’urgence aigu étant donné leur statut bancal en séries éliminatoires. concurrent.
“Chaque semaine, c’est difficile”, McDermott. “Vous ne pouvez jamais prendre une semaine pour acquise ou dire ‘D’accord, nous allons regarder le record et le calendrier et nous allons gagner ici.’ Non. Restez simplement concentré sur ce qui est juste devant nous. Nous n’avons pas fait un grand match (contre Miami). Nous pouvons être meilleurs et nous devons donc revenir en arrière et nous assurer que nos techniques sont solides. Fondamentalement, nous sommes meilleurs que ce que nous étions aujourd’hui. Il y a juste beaucoup de choses à améliorer.
2. Les Bills se soucient-ils de la défense contre la course ?
Oui, évidemment, mais parfois, cela ne semble pas être le cas. Leur plan de match contre Miami en est un bon exemple. Tout le monde sait à quel point les Dolphins sont dangereux dans le jeu de passes avec les receveurs dynamiques Tyreek Hill et Jaylen Waddle attrapant les fléchettes de Tua Tagovailoa efficace et précis, et les Bills ont donné la priorité à cela plutôt qu’à l’arrêt de la course.
Le demi de coin Nickel Taron Johnson a pratiquement admis après que Miami ait couru sur 149 verges que les Bills étaient d’accord pour abandonner certains biens immobiliers sur le terrain parce que l’accent devait être mis sur la prévention des jeux explosifs que Miami est connu pour exploser.
“J’ai juste l’impression qu’ils ont de très bonnes armes à l’extérieur, donc (nous étions) un peu comme les laisser courir le ballon, je dirais”, a déclaré Johnson. “Il suffit de ne pas abandonner les jeux explosifs que nous avons encore abandonnés, je pense que c’est trop, mais simplement de nous assurer de limiter ces jeux explosifs.”
OK, c’est compréhensible contre Miami, à qui ils ont également concédé 139 verges lors de la première rencontre, mais qu’en est-il des 271 verges cédées aux Ravens, des 124 aux Cardinals et des 121 aux Jets ? Les Bills accordent la septième pire moyenne de verges par course (4,8) de la NFL, et ils ont accordé 35 courses d’au moins 10 verges, la cinquième de la NFL.
L’une des principales raisons à cela est que les Bills ne s’écarteront jamais de leur défense de base, donc ils jouent léger dans la surface (six hommes ou moins près de la ligne de mêlée) 48,5 % du temps, un sommet dans la ligue. Quand ils font tomber un homme supplémentaire, c’est Johnson et/ou le safety Taylor Rapp, deux joueurs qui n’ont certainement pas beaucoup de taille, donc si les joueurs de ligne offensive peuvent atteindre ce deuxième niveau, c’est un problème.
Dimanche, les Bills affrontent une équipe des Colts qui tentera assurément d’établir le jeu au sol avec son arrière exceptionnel, Jonathan Taylor. Taylor a affronté les Bills à deux reprises, tous deux à Orchard Park. Il a couru 78 verges et un touché dans le Défaite des Colts 27-24 avec wild-card en janvier 2021, puis 10 mois plus tard, il est revenu pour courir 185 verges, le troisième total le plus élevé de sa carrière dans la NFL, et a marqué un total de cinq touchés alors que les Colts éliminaient Buffalo 41-15.
“Pour nous, fondamentalement, j’ai l’impression qu’il y a beaucoup de choses – même si vous comparez le premier match de Miami à celui-ci – fondamentalement dans le jeu de course où nous pouvons être bien meilleurs”, a déclaré le coordinateur défensif Bobby Babich. « Ce n’est pas seulement suffisant d’être dans votre écart. Vous devez être capable de vous débarrasser d’un bloc, d’utiliser vos techniques de destruction de blocs et ce genre de choses. Il y a donc beaucoup de choses sur lesquelles nous pouvons insister et qui seront vraiment bonnes pour nous cette semaine parce que Taylor, c’est un excellent arrière et il pose un problème.
3. Dans quelle mesure la situation des receveurs larges des Bills est-elle inquiétante ?
En un mot, oui, tant du point de vue du préjudice que du manque persistant de production.
Amari Cooper a raté le match de Miami en raison d’une blessure au poignet et, même si McDermott a déclaré lundi qu’il ferait l’objet d’une évaluation quotidienne, son statut est au mieux trouble pour Indianapolis. Idem pour la recrue Keon Coleman qui a quitté le match à Miami avec sa propre blessure au poignet et si je devais deviner maintenant, d’après le ton et le verbiage de McDermott, il ne sera peut-être pas disponible à Indianapolis.
Par conséquent, les Bills pourraient se lancer dans ce match avec leur témoin, Khalil Shakir, plus l’agent libre Curtis Samuel qui continue d’être le plus gros gaspillage d’argent de la liste, et Mack Hollins médiocre et limité comme trio principal, éventuellement rejoint par deux convocations à l’équipe d’entraînement qui pourraient être une combinaison de Tyrell Shavers, Jalen Virgil et KJ Hamler.
La semaine dernière contre Miami, Allen a ciblé les RB James Cook et Ray Davis, ainsi que les TE Dalton Kincaid, Dawson Knox et Quintin Morris, au total 21 fois sur ses 39 tentatives et ces jeux ont abouti à 13 attrapés pour 134 verges et deux touchés.
Face à des tonnes de couverture de zone, 28 des passes d’Allen ont parcouru moins de 10 mètres dans les airs, mais les Bills ont accumulé 188 mètres après la capture, ce qui représentait 80 % de sa distance de passe, un chiffre fou.
“J’insiste toujours sur les gars, comme si la façon dont nous gagnons n’a pas d’importance, nous essayons simplement de trouver un moyen d’obtenir un point de plus et ce sera différent”, a déclaré le coordinateur offensif Joe Brady. « Cela peut être différent à chaque match… que nous devions le lancer, que nous devions le faire beaucoup, que nous devions être un peu plus équilibrés, qu’il s’agisse simplement de gagner des troisièmes essais. Chaque match sera différent. Et je pense que les bonnes équipes trouvent le moyen de gagner des matchs de football.
Les Colts n’ont pas été une très bonne équipe de plaquage puisque Pro Football Focus les a répertoriés pour 85 plaqués manqués en neuf matchs, 14 par le secondeur EJ Speed et 10 par la sécurité Nick Cross. Vous verrez peut-être Allen adopter une autre approche patiente et courte du jeu de passes dans ce match et s’appuyer sur une journée YAC tout aussi importante, surtout si les menaces vers le bas du terrain, Cooper et/ou Coleman ne peuvent pas jouer.
Sal Maiorana a couvert le Billets de buffle pendant quatre décennies, dont 35 ans en tant que scénariste à plein temps pour D&C, et il a écrit de nombreux livres sur l’histoire de l’équipe. Il est joignable à [email protected] et vous pouvez le suivre sur Twitter @salmaiorana. https://profile.democratandchronicle.com/newsletters/bills-blast
Cet article a été initialement publié sur Rochester Democrat and Chronicle : Les Buffalo Bills dominent l’AFC Est. Peuvent-ils rester concentrés contre les Colts ?
